ConcertoDe L'Adieu By Georges Delerue - score and parts Sheet Music for Violin and Piano - Buy print music MA.EMR-23474S | Sheet Music Plus. Retrouvez la première partie de notre entretien avec Claire Delerue, fille du compositeur Georges Delerue, ici. Avec François Truffaut, sur le tournage des Deux Anglaises et le Continent », 1971. Quelle est la plus belle rencontre artistique de votre père ? J’ai envie de citer deux noms, qui représentent beaucoup de mon point de vue, mais je pense que de son point de vue aussi ces rencontres et ces collaborations ont été parmi les plus belles et les plus riches de sa vie et de sa carrière Boris Vian pour le théâtre et l’opéra, François Truffaut pour le cinéma. Vian et mon père ont créé ensemble en 1953 une pièce inspirée des légendes de la Table Ronde dans laquelle figuraient de nombreuses chansons Le chevalier de neige, œuvre qu’ils ont quelques années plus tard transformée en opéra et donnée au Grand Théâtre de Nancy en 1957. A la suite de cette collaboration, ils ont écrit un opéra de chambre Une regrettable histoire et avaient en projet un troisième opéra, Les mercenaires, à la mort de Vian. Seule une première version du livret est restée. C’était la première partie de la carrière de mon père – et malheureusement la dernière partie de la vie et de la carrière de Vian, mais ces quelques années d’aventures musicales et théâtrales en commun ont soudé leur amitié. Ils n’avaient que cinq ans d’écart et habitaient dans le même quartier, dans le neuvième arrondissement cité Véron pour Vian, rue Duperré pour mon père et ma mère, et leur collaboration eut vite un caractère convivial et amical, alternant entre séances de travail et repas préparés à la bonne franquette. La mort de Vian fut un vrai choc pour mes parents. Boris Vian. Avec Truffaut, il y a quelque chose de magique et d’impalpable dans cette relation de travail à nulle autre pareille ils ont collaboré sur une dizaine des plus grandes œuvres de Truffaut, contribuant ainsi, film après film, à cet extraordinaire renouveau du cinéma et du langage cinématographique qu’a été la Nouvelle Vague. Ils avaient l’un pour l’autre un respect et une estime considérable, mais se voyaient peu – jamais en-dehors des films sur lesquels ils travaillaient ensemble, préférant dialoguer par lettres. Pour autant, même sans se voir souvent, il y avait entre eux une véritable et extraordinaire communion, une proximité de vues et d’esprit à propos des films sur lesquels ils travaillaient et auxquels mon père s’est dévoué complètement, écrivant certaines de ses plus belles partitions. Une remarque en passant Truffaut est le seul réalisateur qui a… fait jouer mon père au cinéma ! Il lui a en effet donné un petit rôle dans Les deux anglaises et le Continent il y joue un notaire dans une courte scène, puis lui a attribué très logiquement le rôle – juste une voix off – du compositeur de la musique du film Je vous présente Pamela, le film dans le film » dont on voit le processus de fabrication dans La nuit américaine. Enfin, juste par égoïsme et fierté personnelle, j’aimerais ajouter à ces deux noms incontournables et connus de tous, un autre nom, celui de ma mère, Micheline Gautron car, si leur mariage s’est finalement conclu par un divorce après vingt ans de vie commune, mes parents ont durant ces deux décennies réalisé de très belles collaborations sur des chansons de film ou de feuilletons télévisés Paul et Virginie, La vie de Gauguin, chansons dont ma mère écrivait les paroles, mais aussi sur un cycle de mélodies Ordinaire journée, sur des poèmes de maman, et enfin – last but not least – sur un opéra, Médis et Alyssio, une commande de l’Opéra du Rhin de Strasbourg en 1975, opéra dont ma mère écrivit le livret. Il y a une place particulière dans mon cœur pour ces œuvres qu’ils ont créées ensemble. C’est sans doute très subjectif, mais j’ai quand même le sentiment que dans ces chansons, mélodies ou opéra, on perçoit une communion unique entre musique et texte, une dimension poétique, tour à tour lyrique et mélancolique, qui fait de ces œuvres, à mon sens, le fruit pérenne d’une magnifique rencontre artistique. Dans le catalogue des œuvres classiques et filmiques, quelle est votre musique préférée ? Et pourquoi ? Vous vous doutez peut-être déjà qu’il m’est difficile – impossible, même – de mettre en exergue une seule œuvre. D’abord parce que mes goût musicaux en général ne sont pas uniformes, mes affinités vont vers des genres et des styles musicaux très divers, parfois même éloignés les uns des autres – chaque style répondant ainsi à une attirance ou à un besoin spécifique. Il en va de même pour la musique de mon père, avec une dimension supplémentaire celle d’avoir été souvent un témoin privilégié du processus de création de l’œuvre ou de sa concrétisation lors d’un enregistrement ou d’un concert. Pour ne pas avoir à faire un tri qui me semblerait absurde, je vais citer des œuvres qui continuent à me toucher particulièrement, par leur beauté, leur souffle, leur lyrisme, et aussi souvent parce que d’une façon ou d’une autre je me suis sentie impliquée dans leur émergence » Dans le catalogue des œuvres dites classiques » ou en tout cas destinées au concert ou à l’opéra Médis et Alyssio 1975, l’opéra mentionné plus haut je me trouvai à dix ans en immersion complète au sein de la troupe qui montait l’œuvre, puisque j’accompagnais mes parents aux répétitions quotidiennes, le Concerto pour 4 guitares et orchestre 1985 composé à la demande de mes amis du Los Angeles Guitar Quartet ; afin de proposer l’œuvre à des orchestres, une maquette » pour 4 guitares et piano réduction de la partie orchestrale avait été enregistrée, et je jouais la partie de piano. Graphic pour guitare seule 1991, que j’ai eu l’occasion de jouer en concert il y a longtemps. J’aime aussi énormément ses œuvres pour ensembles de cuivre, datant de la fin des années 70 Vitrail pour quintette de cuivres ainsi que Cérémonial et Fanfares pour tous les temps pour 4 trompettes, 4 trombones et 1 tuba. J’assistais avec enthousiasme aux répétitions de ces œuvres, au plus près des instrumentistes la sonorité d’un ensemble de cuivre est quelque chose de fabuleux et de magnifiquement énergisant. Trois prières pour les temps de détresse 1983 pour solistes, chœur et ensemble instrumental, donné aux Choralies de Vaison-la-Romaine, est une œuvre poignante, inspirée des Lamentations de Jérémie, qui m’a laissé un souvenir inoubliable, à la fois de concert et de répétitions. Là aussi, je m’étais trouvée au plus près des choristes et en immersion dans l’œuvre, chantant parmi les alti lors de certaines répétitions, même si je ne faisais pas officiellement partie des chorales A cœur joie qui participaient aux Choralies ! J’aime aussi beaucoup la Suite d’orchestre du ballet Les trois mousquetaires, probablement parce qu’il a des accents du Roméo et Juliette de Prokofiev, qui est un de mes ballets préférés. Et enfin, je mentionnerai les chansons et mélodies écrites en collaboration avec ma mère Micheline Gautron, poète et dramaturge. Pour ce qui est des musiques de film, mes préférences vont à la période des années soixante et soixante-dix partitions de films de Truffaut Jules et Jim, La peau douce, Les deux anglaises et le continent, La nuit américaine, d’un des premiers De Broca Cartouche, de Mona, l’étoile sans nom, joli film méconnu de Henri Colpi, tourné dans les années soixante en Roumanie – pays cher à mon cœur car mon mari est roumain – la musique du Mépris, bien sûr, la musique de L’important c’est d’aimer de Zulawski, une partition atypique et puissante, ou encore la partition tourmentée écrite pour Le Jeu du Solitaire de Jean-François Adam ; je continue aussi à écouter avec plaisir et nostalgie les musiques de films anglais peu connus des années soixante Interlude de Kevin Billington, A Walk With Love and Death de John Huston, ou encore, la très belle partition nominée aux Oscars de Julia, film de Fred Zinnemann avec Jane Fonda et Vanessa Redgrave fin des années soixante-dix. Et j’ai aussi beaucoup de tendresse pour la musique de The Black Stallion Returns, qui correspond au début de la période américaine de mon père. C’est une partition très lyrique, très orchestrale, très ample, qui restitue particulièrement bien l’idée d’aventure et de grands espaces ». Là aussi, avoir assisté aux journées d’enregistrement, vu et entendu cet énorme orchestre se mettre en mouvement pour produire du gros son » a sûrement contribué à impressionner durablement ma mémoire ! Je ne peux pas non plus ne pas citer les thèmes musicaux de quelques feuilletons qui ont bercé mon enfance Thibaud et les croisades, Adieu mes 15 ans, Paul et Virginie, ainsi que, également pour la télévision, la magnifique musique écrite pour le documentaire Tours du monde, tours du ciel. Un lien particulier m’unit au thème principal de cette série de films sur le cosmos, les planètes et les étoiles quelques mois après le décès de mon père en 1992, on m’a demandé de participer à un concert de musique de films sur le thème des étoiles, le chef d’orchestre ayant décidé de programmer en hommage à mon père la musique de Tours du monde, tours du ciel. J’ai donc eu cette très belle occasion de jouer ce thème à la cithare, accompagné par l’orchestre, et j’ai pu ainsi rendre un hommage musical à mon père à travers cette magnifique pièce qui nous emmène, avec les images magiques du film, vers le mystère et les confins de l’univers. Propos recueillis par Nicolas Grenier. PartitionConcerto De L'Adieu de Georges DELERUE, Jan VALTA pour Orchestre d'harmonie avec soliste. Editeur et revendeur, Robert Martin vous propose la vente en ligne de plus de 50 000 partitions, livres et CD pour orchestres et musiciens depuis 1934 . Accès client. 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0% found this document useful 0 votes423 views101 pagesCopyright© © All Rights ReservedAvailable FormatsPDF, TXT or read online from ScribdShare this documentDid you find this document useful?0% found this document useful 0 votes423 views101 pagesListe Partition 022018Jump to Page You are on page 1of 101 You're Reading a Free Preview Pages 9 to 15 are not shown in this preview. You're Reading a Free Preview Pages 23 to 43 are not shown in this preview. You're Reading a Free Preview Pages 48 to 51 are not shown in this preview. You're Reading a Free Preview Pages 60 to 67 are not shown in this preview. You're Reading a Free Preview Pages 72 to 85 are not shown in this preview. You're Reading a Free Preview Pages 93 to 99 are not shown in this preview. Reward Your CuriosityEverything you want to Anywhere. Any Commitment. Cancel anytime.
Harmoniede chambre (cordes et vents) du CONSERVATOIRE MILITAIRE DES MUSIQUES DE L'ARMÉE DE TERRE Direction Jean-Michel SORLIN, Directeur du CMMDAT Soliste Clément BERLIOZ, violon Au programme : TOMASI, Noces de Cendres DELERUE, Concerto de L'Adieu Et œuvres de BENEDICTUS, BOURGAULT-DUCOUDRAY,GANNE, SALABERT et GERMAIN-THILL mardi 22 janvier 2013 Concerto de l'Adieu pour violon et orchestre Concerto de l'Adieu pour violon et orchestre Georges Delerue Auteur Consultez la liste Cadeaux les plus demandes dans la rubrique Orchestre pour des informations officielles sur le classement actuel de ce produit. à 0842 Aucun commentaire Enregistrer un commentaire Article plus récent Article plus ancien Accueil Inscription à Publier les commentaires Atom Toutesles informations de la Bibliothèque Nationale de France sur : Concerto de l'adieu - Georges Delerue (1925-1992) Le Deal du moment Cartes Pokémon où commander le coffret ... Voir le deal € Toutes les musiques du monde Musique de films, du monde & divers Jazz & Musiques de films AuteurMessageInvitéInvitéSujet Georges Delerue cinéma 2006-10-29, 2148 A écouter d'urgence dans ses musiques de film - Le mépris- L'insoumis- La peau douce- L'important c'est d'aimer- Police python 357Les CDs sont sortis partiellement depuis 2000 sous le label Universal, et sont disponibles à 10 euros seulement dans les bacs de musiques de film collection Ecoutez le cinéma, n'hésitez pas, vous allez fondre !Un immense monsieur que je chérie tout particulièrement !Georges Delerue, né le 12 mars 1925 à Roubaix Nord et mort le 20 mars 1992 à Burbank Californie, est un compositeur et musicien français, spécialiste de musiques de films. Auteur de plus de trois cents musiques de films, il reçoit à trois reprises le César de la meilleure musique, en 1979 pour Préparez vos mouchoirs, en 1980 pour L'Amour en fuite et en 1981 pour Le Dernier Métro, et l'Oscar de la Meilleure partition originale lui est décerné en 1980 pour I love you, je t'aime. IcareAdminNombre de messages 15937Age 58Date d'inscription 13/11/2009Sujet Re Georges Delerue cinéma 2014-06-26, 1815 Georges Delerue ne fait pas partie des compositeurs français que j'écoute le plus, toutefois, son Concerto de l'adieu - Dien Biên Phù un film de Pierre schoendoerffer est l'une de ses rares musiques qui arrivent à me faire fondre, avec son violon suspendu, d'une grande force mélancolique. Une autre musique assez belle et moins connue de Georges Delerue illustre la série télévisée Paul Gauguin réalisée par Roger Pigaut avec Maurice Barrier dans le rôle du célèbre peintre. La suite symphonique qui en a été tirée est un peu artificielle, comme beaucoup de suites "musico-cinémagraphiques". Certains morceaux sont vraiment courts et peu développés, sauf le principal, lui aussi d'une belle mélancolie. Il n'en demeure pas moins que, globalement, la suite Paul Gauguin reste attachante et d'esprit rêveur, même si elle me touche moins aujourd'hui qu'hier. Dernière édition par Icare le 2016-10-03, 2215, édité 1 fois joachimAdminNombre de messages 23977Age 76Date d'inscription 19/08/2006Sujet Re Georges Delerue cinéma 2014-06-26, 1824 Je me souviens bien du générique de Jacquou le Croquant, ce téléfilm qui avait bouleversé la France de la fin des années 1960 ! IcareAdminNombre de messages 15937Age 58Date d'inscription 13/11/2009Sujet Re Georges Delerue cinéma 2014-06-26, 1853 Oui, je l'avais vu et beaucoup aimé. En revanche, je ne me souvenais plus de la musique. très joli thème aussi. IcareAdminNombre de messages 15937Age 58Date d'inscription 13/11/2009Sujet Re Georges Delerue cinéma 2016-03-04, 0015 Les gens de ma génération et plus encore ceux des générations d'avant doivent connaître cette fameuse série Thibaud ou les croisades réalisée par Joseph Drimal et Henri Colpi. Moins sûr qu'ils se souviennent de la partition de George Delerue qui est belle et entraînante. Le thème principal est entêtant et plein d'entrain. Allez! Un petit rappel! Ah que j'étais jeune lorsque je regardais cette série à la télé! pourrions chanter ce thème en choeur. Bon, tout n'est pas dans cette veine, il y a aussi des thèmes plus doux, plus tendres, très caractéristiques du style romantique du compositeur - souvent, c'est un type de musique qui m'évoque le bonheur, le bien-être. Il y a parfois de la flûte solo, une couleur orientale ci et là. Un soupçon de nostalgie s'est emparé de moi, aujourd'hui, grâce à cette belle musique de édition par Icare le 2017-12-28, 2330, édité 2 fois laudecNombre de messages 5668Age 70Date d'inscription 25/02/2013Sujet Re Georges Delerue cinéma 2016-03-04, 0034 Moi je découvre, je ne connaissais pas cette série ni sa musique mais j'ai quelques années de plus bien sûr , je regardais Ivanhoe, Robin des bois, Lassie, Rintintin ... Thibaud, ça doit se situer lorsque les séries ne m'intéressaient déjà plus et que mes enfants n'en regardaient pas encore IcareAdminNombre de messages 15937Age 58Date d'inscription 13/11/2009Sujet Re Georges Delerue cinéma 2016-03-04, 0906 laudec a écrit Moi je découvre, je ne connaissais pas cette série ni sa musique mais j'ai quelques années de plus bien sûr , je regardais Ivanhoe, Robin des bois, Lassie, Rintintin ... Thibaud, ça doit se situer lorsque les séries ne m'intéressaient déjà plus et que mes enfants n'en regardaient pas encore Je me souviens d'"Ivanhoë" mais aussi d'une série western, pas "Au nom de la loi" mais "Hondo". J'aimais beaucoup le héros, ce cow boy solitaire avec Sam, son chien...Mais bon, on s'éloigne de t'offre, Laudec, un petit cadeau pour la flûte tiré de A Little Romance que, plus jeune, j'écoutais souvent toujours d'ailleurs. C'est frais, entraînant et ça met de bonne humeur. Si ma mémoire est bonne, il a reçu l'Oscar pour cette délicieuse partition. Tu peux d'ailleurs en trouver davantage sur Youtube si jamais tu souhaites approfondir un peu. laudecNombre de messages 5668Age 70Date d'inscription 25/02/2013Sujet Re Georges Delerue cinéma 2016-03-04, 1207 Très joli, en effet, merci Icare ça me donne envie d'aller en écouter d'autres et j'ai vu qu'il y beaucoup à découvrir sur YT IcareAdminNombre de messages 15937Age 58Date d'inscription 13/11/2009Sujet Re Georges Delerue cinéma 2016-10-01, 1909 Après un portrait consacré à Ned Rorem, je consacre une écoute exclusive à Georges Delerue. J'ai d'ailleurs commencé par un standard, une de ses musiques de films les plus connues, Le Mépris 1967, ce fameux film de Jean-Luc Godard qui réunissait Brigitte Bardot et Michel Piccoli. Moins connu, j'ai réécouté une suite de sa partition pour le film de Jean-Pierre Melville, L'Aîné des Ferchaux 1962 et une suite de sa partition mélancolique et même sombre pour le film d'Alain Cavalier, L'insoumis 1964. Le dernier extrait de cette "Mort de Thomas" accompagne la mort du personnage principal joué par un jeune Alain Delon. J'aime assez bien ce morceau qui ressemble à une procession funèbre. laudecNombre de messages 5668Age 70Date d'inscription 25/02/2013Sujet Re Georges Delerue cinéma 2016-10-01, 2130 De magnifiques musiques de film de George Delerue, je suis impressionnée par l'intensité des moments musicaux si Concerto de l'Adieu du film "Dien Bien Phu" Mépris , du film de Jean Luc Godard à la Liberté du film "Révolution Française", chanté par Jessye Norman le Grand Choral de "La nuit américaine" , des chefs d’ IcareAdminNombre de messages 15937Age 58Date d'inscription 13/11/2009Sujet Re Georges Delerue cinéma 2016-10-01, 2224 Adolescent et même plus vieux, j'ai adoré ce film d'aventure signé Henri Verneuil qui réunissait en haut de l'affiche Jean-Paul Belmondo et Lino Ventura. Le film s'intitulait Cent-mille dollars au soleil 1963. Ce fut une superbe confrontation entre deux monstres sacrés du cinéma français avec la fameuse castagne finale. En revanche, je n'ai jamais été très fan de la bande-son de Georges Delerue dont le thème principal m'a toujours paru pompier. En fait, c'est surtout un motif cuivreux de quelques notes qui appuient le caractère dramatique du film et qui revient de façon trop récurrente tout au long de la ce qui lui donne un côté balourd irréversible. Je ne trouve ce motif cuivreux très "heureux" dans une écoute seule. Dans le film, ça passe évidemment mieux. Il y a bien un autre thème principal plus enlevé et optimiste qui deviendra dans sa forme la plus lyrique le "End Title", puis des petites touches sympathiques ci et là, notamment un "Old man out" plus enjoué et même ironique, mais bon, globalement, c'est surtout la musique qui accompagne un film que j'ai adoré. La chance pour moi c'est qu'elle est couplée avec la Suite symphonique, Paul Gauguin d'une durée de 25 minutes environ et tirée du film de Roger Pigaut; La vie fabuleuse de Paul Gauguin 1974. Et là c'est le grand Delerue qui s'y exprime un chef-d'oeuvre de mélancolie et de délicatesse, une merveille dans laquelle ce compositeur a l'habitude d'exceller. DaisybrailleNombre de messages 250Age 66Date d'inscription 24/05/2019Sujet Georges Delerue cinéma 2020-04-15, 1630 Durant mon confinement, j'ai regardé avec les oreilles énormément de films, dont certains ornés par Georges Delerue. J'ai lu toute sa filmographie ! Ach zo ! C'est presque notre Morricone français ! Un rien plus discret peut-être ! Mais comme il a été dit, de la douceur à la marche, de la flûte à la trompette... Il connaît toutes les nuances et peut donc peindre les images et les ambiances avec délicatesse et comprends qu'on l'aime ! IcareAdminNombre de messages 15937Age 58Date d'inscription 13/11/2009Sujet Re Georges Delerue cinéma 2021-08-08, 1936 Je n'arrive pas à me souvenir quelle fut la musique qui me permit d'entrer dans l'univers de Georges Delerue. Je pense qu'il devait s'agir de ses compositions pour Thibaut ou les croisades, une série télévisée française en 26 épisodes de 26 minutes, créée par France Bennys et Henri Colpi, réalisée par Joseph Drimal et diffusée entre le 2 novembre 1968 et le 28 décembre 1969 sur la première chaîne de l'ORTF. Elle est d'ailleurs devenue ma bande originale préférée du compositeur. J'avais très certainement vu, durant la même époque, Jacquou le Croquant de Stellio Lorenzi 1969. Je me souviens aussi et surtout de L'Homme de Rio de Philippe de Broca 1964 que j'avais vu plusieurs fois à la télévision. Je n'étais encore qu'un gamin, un adolescent ou pré-adolescent qui faisait déjà attention à la musique, surtout si celle-ci accrochait instantanément mon oreille, genre le fabuleux générique Les dossiers de l'écran - Morton Gould Spirituals. Mais, pour en revenir à Georges Delerue, j'avoue que les bandes-son de Jacquou le Croquant, L'homme de Rio, Le Corniaud, Le Cerveau, autant de films des années soixante que j'avais vus et revus pour trois d'entre eux, et surtout adorés, n'avaient produit aucun déclic en moi. Même aujourd'hui, je ne sais pas à quoi elles ressemblent, ne les ai jamais réécoutées hors-contexte. Seul son Thibaut avait su me séduire. Je ne peux donc pas dire que c'est par Georges Delerue que démarra ma passion pour la musique...de film ou non...contrairement à certains mélomanes, ce qui démontre que nous avons tous une appréciation différente, au fond aussi unique qu'une empreinte digitale, avec entre nous certains points de convergence et de divergence dont l'importance varie selon les sensibilités et les expériences. C'est au fil de mon intérêt pour la musique de film que, petit-à-petit, des musiques de Delerue se sont installées émotionnellement en moi et sur mes étagères cette musique atmosphérique poignante pour Police Python 357 d'Alain Corneau, Agnès de Dieu Agnes of God de Norman Jewison, Le Concerto de l'Adieu/Diên Biên Phu, Le Mépris, Gauguin, la petite musique obsédante qui illustre les scènes de crime dans Garde à vue, et quelques autres... Le dernier morceau de musique que j'ai bien aimé de Georges Delerue a été composé pour Salvador d'Oliver Stone 1985, un thème énergique, fortement dramatique, le générique-début pour un film que j'ai redécouvert récemment. Il y a des moments musicaux que j'aime beaucoup dans ce qu'il composa entre 1982 et 2002 pour La Cinéscénie du Puy du Fou. C'est un bel album que j'ai réécouté à l'occasion de mon nouveau cycle. Contenu sponsoriséSujet Re Georges Delerue cinéma Georges Delerue cinéma Page 1 sur 1 Sujets similaires» Georges Delerue 1925-1992» L'opéra au cinéma» L'orgue au cinéma» Georges GARVARENTZ» Georges van PARYSPermission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumToutes les musiques du monde Musique de films, du monde & divers Jazz & Musiques de filmsSauter vers ConcertoDe L'Adieu — Georges Delerue. Violin & Piano — score and parts — From the Movie: Dien Bien Phu. Composed by Georges Delerue. Arranged by Jan Valta. Violin & Piano. Score and parts. Duration 8'57. Editions Marc Reift #23474S. Published by Editions Marc Reift (MA.EMR-23474S). Price: $8.00 . Triptyque — Georges Delerue. Organ — — Classical, Contemporary Organ Solo.
The Horsemen • John Frankenheimer • • • • Musique originale composée par Georges Delerue Ce disque comprend "Les Cavaliers", unique collaboration du compositeur avec le cinéaste américain John Frankenheimer ainsi que deux partitions complètes, jamais publiées discographiquement, composées par Delerue pour les documentaires "Le Nil" et "Le Testament de l'île de Pâque" de Jacques-Yves Cousteau. [© Texte Cinezik] • Sortie de la BO Réédition • Universal - Ecoutez le cinéma 10 mai 2010 Tracklist de la BO en CD ou Digital"The Horsemen/Les Cavaliers"1. Main title 02572. Just as you are, I love you version 1 02383. Savage game for a king 04074. At the bazaar 02595. Frustration 02416. Hills of Afghanistan 02417. Just as you are, I love you version 2 02318. The fair 01579. It must come off, master 023510. An old man rides 021011. Just as you are, I love you version 3 013612. Man of great riches 035713. End title "Le Testament de l'île de Pâques" TV14. Statues 030215. L'océan et l'infini 025216. Valses de Pâques 020817. Final 0311 "Le Nil" TV18. Ouverture 045119. Ramsès II 032220. Oasis 033521. Souvenirs antiques 030722. Assouan 034123. Gizeh 023724. L'adieu au Nil 0230 Voir le calendrier des Autour de cette BO Note de l'éditeur Publié en décembre 2008, le somptueux coffret Le Cinéma de Georges Delerue contient deux extraits d'une partition rare, Les Cavaliers, unique collaboration du compositeur avec le cinéaste américain John Frankenheimer, autour d'une adaptation du célèbre roman de Joseph Kessel. Ces extraits annonçaient la publication du présent album, où figure la bande originale des Cavaliers, pour la première fois en version intégrale. Pour cette fresque épique tournée en Afghanistan, alliant spectaculaire et drame psychologique, Georges Delerue lâche les chevaux de son inspiration avec une grandiose partition pour orchestre et choeurs, doublée d'incursions dans le folklore afghan. A chaque mesure y éclate le goût du compositeur pour les grands espaces, les chevauchées fantastiques, le lyrisme à perte de vue. pour aussi l'expression du tourment, de la brutalité, de la barbarie. En complément, on trouvera deux partitions complètes, jamais publiées discographiquement, composées par Delerue pour les documentaires Le Nil et Le Testament de l'île de Pâque de Jacques-Yves Cousteau. Là encore, il s'agit d'évocations de terres lointaines, de civilisations primitives, d'évasion. Une pierre de plus à l'édifice Georges Delerue au sein d'Ecoutez le cinéma !, avec un nouvel album qui sonne comme un appel à l'aventure. Le Film Calendrier des Films & Séries Georges Delerue Georges Delerue a également écrit la musique de Descente aux enfers Francis Girod, 1986 • I love you, je t'aime George Roy Hill, 1979 • La peau douce François Truffaut, 1964 • Love Ken Russell, 1969 • Tirez sur le pianiste François Truffaut, 1960 • Platoon Oliver Stone, 1987 • Le Mépris Jean-Luc Godard, 1963 • Jules et Jim François Truffaut, 1962 • Salvador Oliver Stone, 1986 • Le Diable par la queue Philippe de Broca, 1969 • Cartouche Philippe de Broca, 1962 • Le Corniaud Gérard Oury, 1965 • Cent Mille Dollars Au Soleil Henri Verneuil, 1963 • L'Homme de Rio Philippe de Broca, 1964 • L'Important c'est d'aimer Andrzej Zulawski, 1975 • Vos avis
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concerto de l adieu georges delerue partition