1000 France, mère des arts, des armes et des lois. (Joachim du Bellay, les Regrets) #1001 Et ne vaut-il pas mieux quelque orage endurer, Que d'avoir toujours peur de la mer importune? Par la bonne fortune on se trouve abusé, Par la fortune adverse on devient plus rusé. (Joachim du bellay, les Regrets) #1002 Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage. (Joachim du

France, mère des arts, des armes et des lois, Tu m’as nourri longtemps du lait de ta mamelle ; Ores, comme un agneau qui sa nourrice appelle, Je remplis de ton nom les antres et les bois. Si tu m’as pour enfant avoué quelquefois, Que ne me réponds-tu maintenant, ô cruelle ? France, France, réponds à ma triste querelle. Mais nul, sinon Echo, ne répond à ma voix. Entre les loups cruels j’erre parmi la plaine ; Je sens venir l’hiver, de qui la froide haleine D’une tremblante horreur fait hérisser ma peau. Las ! Tes autres agneaux n’ont faute de pâture, Ils ne craignent le loup, le vent, ni la froidure Si ne suis-je pourtant le pire du troupeau. dit par André LUGUET Joachin DU BELLAY Les Regrets, 1558 Citationde Joachim du Bellay - France, mère des arts, des armes et des lois. Accueil ; Auteurs; Thèmes; Citation de Joachim du Bellay “France, mère des arts, des armes et des lois.” ― Joachim du Bellay. Source: Les œuvres françoises de Joachim Du Bellay, / rev. et de nouveau augm. de plusieurs poésies non encore auparavant imprimées (1558), Joachim
France, mère des arts, des armes et des lois,Tu m'as nourri longtemps du lait de ta mamelle Ores, comme un agneau qui sa nourrice appelle,Je remplis de ton nom les antres et les tu m'as pour enfant avoué quelquefois,Que ne me réponds-tu maintenant, ô cruelle ?France, France, réponds à ma triste nul, sinon Écho, ne répond à ma les loups cruels j'erre parmi la plaine,Je sens venir l'hiver, de qui la froide haleineD'une tremblante horreur fait hérisser ma tes autres agneaux n'ont faute de pâture,Ils ne craignent le loup, le vent ni la froidure Si ne suis-je pourtant le pire du troupeau.
Sonnet| Poème écrit par Joachim DU BELLAY (1522-1560)Extrait du recueil Les RegretsDit par Laurent NOGATCHEWSKY----- ** Proposer de la poésie France, mère des arts, des armes et des lois* ... A francophonie fait recette né à Niamey en 1969. L’Afrique L de nombreux ouvrages sur le noire lui a toujours fourni ses gros sujet viennent de paraître l, et bataillons, et il en ira sans doute de surtout, fait nouveau, en France au taux actyel même dans !’avenir même le thème est à la mode d’accroissement de sa population, be depuis le succès déjà confirmé et Zaïre sera dans moins de vingt ans amplement mérité du Festival de le premier pays francophone du Limoges, de nombreuses manifesta- monde D, si nous comptons les fran- tions estivales et festivalières emboî- cophones à la manière de’ G. de à tent le pas. Enfin l’organisation Broglie. Pourtant le fait est impor- Lagos, en mai dernier, d’un grand tant un pays d’Afrique noire sera symposium littéraire, où devaient se I le plus important pays ayant le rencontrer écrivains francophones et français comme langue officielle, anglophones, a montré, de la part même si un faible pourcentage de des militants de la francophonie, sa population y parle le français. Or une nouvelle assurance le dialogue dans tous les ouvrages récents, est possible avec les autres. L’est-il l’Afrique noire est bien la parente vraiment? Et quelle place tient pauvre de la francophonie. Les l’Afrique, et en particulier l’Afrique noirs sont en somme les Africains noire dans cette francophonie 88 ?
France mère des arts, des armes et des lois. France, mère des arts, des armes et des lois, Tu m’as nourri longtemps du lait de ta mamelle : Ores, comme un agneau qui sa nourrice appelle, Je remplis de ton nom les antres et les bois. Si tu m’as pour enfant avoué quelquefois,

Aperçu historique de l’évolution des droits de l’enfantDans l’Antiquité, l’idée d’accorder une protection spéciale aux enfants n’était pas monnaie Moyen-Age, les enfants sont considérés comme de petits adultes », des êtres humains version modèle réduit ».Au milieu du XIXe siècle, en France, naît l’idée d’une protection particulière pour les enfants. Il se développe ainsi progressivement un Droit des mineurs. » Une reconnaissance de l’intérêt de l’enfant se met en place, et à partir de 1841 des lois protègent peu à peu les enfants au travail. Se développe ensuite dès 1881 le droit français à l’éducation des début du XXe siècle, la protection de l’enfant se met en place, avec notamment une protection médicale, sociale et judiciaire. Cette protection des enfants se développe d’abord en France, puis s’établit dans d’autres pays d’ partir de 1919, la reconnaissance des Droits de l’Enfant commence à trouver un écho international avec la création de la Société des Nations, qui met en place un Comité de protection de l’ 26 septembre 1924, la Société des Nations adopte la Déclaration de Genève. Cette déclaration des Droits de l’Enfant est le premier texte international adopté. En cinq points, ce texte reconnaît pour la première fois des droits spécifiques aux enfants et précise les responsabilités des Déclaration de Genève est inspirée des travaux du médecin polonais Janusz Korczak qui parlent du respect de l’identité de l’enfant et de sa de la Seconde Guerre mondiale laisse derrière elle des milliers d’enfants en détresse. Ainsi, en 1947 est créé le Fonds des Nations Unies des secours d’urgence à l’enfance. C’est la naissance de l’UNICEF qui devient en 1953 une organisation internationale l’UNICEF a pour mission de porter secours aux victimes de la Seconde Guerre mondiale, se consacrant ainsi essentiellement aux enfants européens. Mais, dès 1953, son mandat devient international et ses actions concernent aussi les pays en voie de développement. L’UNICEF met alors en place des programmes d’aide à l’enfance pour leur éducation, leur santé, l’eau et l’ 10 décembre 1948, la Déclaration universelle des droits de l’homme reconnaît que la maternité et l’enfance ont droit à une aide spéciale».Le 20 novembre 1959, l’Assemblée générale des Nations Unies adopte la Déclaration des droits de l’enfant. Même si de nombreux États n’étaient pas d’accord et que le texte n’a aucune valeur contraignante, il ouvre la voie à une reconnaissance universelle des droits de l’enfant. Ce texte définit en dix principes les droits de l’enfant et fait de lui un véritable sujet de l’adoption de la Déclaration universelle des droits de l’homme, les Nations Unies souhaitent mettre en place une Charte des droits de l’homme qui aurait force d’obligation et de contrainte pour les États. Ainsi, une Commission des droits de l’homme chargée de rédiger ce texte va être un contexte de guerre froide et après de longues négociations, deux textes complémentaires à la Déclaration universelle des droits de l’homme sont adoptés par l’Assemblée générale des Nations Unies à New York le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels reconnaît le droit à la protection contre l’exploitation économique, le droit à l’éducation et le droit à la santé;le Pacte relatif aux droits civils et politiques établit le droit à un nom et à une 1979 est proclamée par les Nations Unies Année internationale de l’enfant ». 1979 marque une véritable prise de conscience, où la Pologne propose la constitution d’un groupe de travail au sein de la Commission des droits de l’homme. Ce groupe de travail est ainsi chargé de rédiger une convention internationale…Le 20 novembre 1989 est adoptée la Convention internationale des droits de l’enfant. En 54 articles, ce texte, adopté à l’unanimité par l’Assemblée générale des Nations Unies, énonce les droits civils, économiques, sociaux et culturels de l’ Convention internationale des droits de l’enfant est le texte international relatif aux droits de l’homme, qui à ce jour, a été le plus rapidement adopté dans l’histoire. Le 2 septembre 1990, ce texte devient un traité international, après sa ratification par 20 États qui en marque l’entrée en 11 juillet 1990, l’Organisation de l’unité africaine qui deviendra l’Union africaine adopte la Charte africaine des droits et du bien-être de l’ 17 juin 1999 est adoptée la Convention de Genève sur les pires formes de travail des mai 2000, le Protocole facultatif à la Convention internationale des droits de l’enfant concernant la participation des mineurs aux conflits armés est ratifié. Il entrera en vigueur en 2002. Ce texte interdit la participation des mineurs aux conflits ce jour, la Convention internationale des droits de l’enfant a été ratifiée par 193 États sur 195, malgré quelques réserves sur certaines parties du texte. Les États-Unis et la Somalie sont les seuls pays au monde à l’avoir signée mais pas le cadre théorique et contraignant est quasi universellement admis. Pourtant, il reste à l’appliquer, à transformer les paroles en actions, à faire des mots une réalité… Dans un monde d’une intolérable urgence, où toutes les 5 secondes un enfant meurt de faim, il est temps de lier la théorie à la pratique… peut-être aurait-il fallu commencer par là ? Voir aussi Convention des droits de l’enfantPrincipaux textes internationaux concernant les droits de l’enfantAutres textes relatifs aux droits de l’enfantCritiques des droits de l’enfantJournée internationale de l’enfanceOuvrages Jean Le Gal, Les droits de l’enfant à l’école, De Boeck, Bruxelles, Royal, Les droits des enfants, Dalloz, Martinetti, Les droits de l’enfant, Librio, Lanchon, Les droits des enfants, Flammarion, Père Castor, Mohamed Bennouna, La convention des Nations Unies relative aux droits de l’enfant », Annuaire français de droit international, XXXV, 1989, Éditions du CNRS, aller plus loin AIDH, Petites histoires des droits de l’enfant ;UNICEF, Histoire des droits de l’enfant ;DEI Suisse, L’histoire des droits de l’enfant .

France mère des arts, des armes et des loisLes Regrets - IXJoachim Du Bellay (1522-1560)Lecture : ABPortrait de couverture : Auteur inconnuIllustration de f
Les amateurs critiquent directives et règlements européens qui les entravent dans leurs activités. Pourtant, sous l’action de la FESAC, notre fédération européenne de collectionneurs, la directive prévoit que les collectionneurs peuvent détenir des armes de catégorie A sous certaines conditions. Ce que fixe la Directive européenne Les États membres peuvent choisir d’accorder à des collectionneurs, à titre exceptionnel, dans des cas particuliers spéciaux et dûment motivés, des autorisations d’acquérir et de détenir des armes à feu, des parties essentielles et des munitions de la catégorie A, sous réserve du strict respect des conditions de sécurité, y compris la fourniture aux autorités nationales compétentes de la preuve que des mesures sont en place pour parer à tous les risques pour la sécurité publique ou l’ordre public et que les armes à feu, les parties essentielles ou les munitions concernées, sont stockées avec un niveau de sécurité proportionnel aux risques liés à un accès non autorisé à ces objets. » [1] La directive ne traite que de la catégorie A puisque par ailleurs elle établit que c’est une catégorie interdite, c’est donc un passe-droit » destiné à la sauvegarde du patrimoine. Elle n’a pas prévu explicitement la même possibilité pour la catégorie B puisqu’il s’agit d’armes soumises à autorisation. La possible autorisation pour la catégorie A entraîne de fait, celle de la catégorie B. Elle définit ainsi le terme collectionneur [2], toute personne physique ou morale qui se consacre à la collecte et à la conservation des armes à feu, des parties essentielles ou des munitions, à des fins historiques, culturelles, scientifiques, techniques, éducatives ou de préservation du patrimoine, et reconnue comme telle par l’État membre concerné. » Dans les autres États européens Peuvent accéder aux armes de catégorie A et B sur autorisation et sans restriction de date de modèle, les collectionneurs autrichiens, belges, tchèques, estoniens, finlandais, allemands, jersiais, maltais, hollandais et norvégiens. Pour les armes de catégorie B, les collectionneurs cypriotes peuvent être autorisés à acquérir des modèles antérieurs à 1920. Quant aux Roumains, il leur est juridiquement possible d’être autorisés pour des armes de catégorie A, mais il n’y a pas d’exemples connus autres que les musées. Cependant, ils ont accès facilement aux armes de catégorie B. Les Espagnols peuvent être autorisés à détenir des armes de catégorie B ayant appartenu à des personnages historiques. Sont privés de la collection d’armes de catégorie A et B les collectionneurs cypriotes, Français et Luxembourgeois. Il est compréhensible que les collectionneurs français soient vexés d’être à la traîne des États européens alors qu’ils sont en France mère des arts des armes et des lois. » [3] La ministre déléguée avait porté la parole du gouvernement. Pourquoi pas en France ? A l’occasion de la transposition de la directive début 2018, les collectionneurs avaient reçu le soutien des députés puisque dans l’hémicycle, les mots collection ou collectionneurs ont été prononcés 166 fois. Et 69 députés avaient cosigné 49 amendements favorables aux collectionneurs. Parmi ceux-ci, on dénombrait 9 amendements prévoyant cette fameuse autorisation que les collectionneurs demandent pour les armes de catégorie A et B. Ils ont été repoussés avec avis défavorable du gouvernement. A l’époque, la ministre déléguée Jacqueline Gourault avait indiqué que le gouvernement ne souhaitait pas étendre le nombre de bénéficiaires de ce type d’autorisation et que c’était un choix assumé ». Alors que notre demande est tout à fait légitime, en 2021 nous en sommes au même point. Y aurait-il au cabinet du Ministre, un hoplophobe qui n’aime pas les collectionneurs, leur travail sur la mémoire et le sacrifice de toute une vie ? Efforts de parlementaires A l’occasion de l’examen du projet de loi relatif à la responsabilité pénale et à la sécurité intérieure [4], le député Xavier Breton [5] a défendu en commission des lois et en séance des amendements une meilleure prise en compte des collections d’armes et des matériels anciens. Il voulait introduire dans le code de la sécurité intérieure, la possibilité pour les collectionneurs de demander une autorisation d’acquisition et de détention auprès de la préfecture pour les armes des catégories A ou B ayant une nature patrimoniale, c’est-à-dire pour les armes d’un modèle antérieur au 1er janvier 1946. Le rapporteur et le Gouvernement sont restés insensibles à cette demande, le gouvernement préfère le statu quo à l’égard des collectionneurs. La collection des frères Brunon est maintenant la propriété du Musée de l’Armée. Les collections privées sont la base des collections publiques La présence des collections privées dans les musées publics est considérable. Les musées seraient bien vides si les collections privées n’étaient venues au cours des temps les enrichir. Il n’est pas un seul musée qui n’ait bénéficié de ces apports. Les vitrines et les salles offertes aux yeux du public en témoignent. Certaines grandes collections privées constituent même pratiquement à elles seules un musée. Tel est le cas de la prestigieuse collection Brunon qui a donné naissance en France au musée de l’Empéri à Salon de Provence. Même chose pour la collection Sommer grâce à laquelle a été créée à Paris le musée de la Chasse et de la Nature, dans le cadre magnifique de l’Hôtel de il faut citer également la célèbre collection Paulhiac du musée de l’Armée aux Invalides. Et tout cela est très bien car les finances publiques ne suffiraient pas à l’achat de ces trésors. Consulter ce lien. Il s’agit d’une immense collection dans un Etat européen. Elle servira immanquablement de base aux futurs musés et il est improbable que les vieilles mitrailleuses réservent un jour. Ce que nous proposons La possibilité d’obtenir des autorisations d’armes ou de matériel de catégorie A et B pour les titulaires de la carte de collectionneur. Pour les armes, le modèle devrait être antérieur à 1946, comme cela on reste dans la notion de patrimoine. Les munitions actives seraient interdites, mais pour elles, il serait prévu la possibilité de neutralisation des munitions d’un calibre supérieur à 20 mm. Assortie d’une interdiction de tirer avec les armes de catégorie A ou B détenues au titre de la carte de collectionneur. Si une telle disposition avait été en place, cela aurait réglé la problématique d’un tiers des armes de catégorie A1-11° qui sont d’antiques armes automatiques Fusils-mitrailleurs Chauchat, Johnson, Maxim MG 08, mitrailleuses Saint-Etienne 1907 etc. que leurs propriétaires ont voulu sauver en les faisant transformer en semi-auto only » voire en armes à répétition manuelle. Alors qu’aujourd’hui, les détenteurs n’ont pas d’autre choix que la destruction ou la neutralisation. Cela donnerait également la possibilité de régulariser des armes issues de la dernière guerre et qui sont régulièrement trouvées dans les greniers des habitations des zones où se sont déroulé des combats. Alors qu’aujourd’hui, elles restent dans leur grenier, dans la clandestinité, avec le risque de tomber un jour entre de mauvaises mains. Rel. L- 26 /11/21 . 303 27 456 205 323 345 327 87

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